| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis | |
|
+5Marko shanidar Maline Orientale Queenie 9 participants | |
Auteur | Message |
---|
Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 20:42 | |
| Moi aussi, je viens de finir le chapitre "La Tour de la faim" et oui, le theme de la torture sophstiquee dans cette tour ou l'on meurt de la pretendue faim, la torture de Borivoj empale, c'est deja a reflechir - Meyrink s'y fixe trop. Le romantique et la torture, ce n'est pas nouveau, surtout dans le romantisme allemand - Gœthe et Schiller et le "Nosferatu" de Werner Herzog etc. - Citation :
- L'empalement était un moyen d'éxécution utilisé principalement en Roumanie, en Perse, en Siam, dans l'Empire Ottoman, en Europe aussi, principalement à l'encontre des homosexuels.
Cette technique permettait d'éxécuter un grand nombre de personnes en un minimum d'espace.Le but étant aussi d'impressionner au maximum les spectateurs. Fallait quand même un peu de spectacle dans cette barbarie. Shanidar nous explique l'entree de cette torture toujours par la theorie de Dr Freud - Meyrink s'y prend, - Citation :
- mais inversement
- c'est de Borivoj, l'empale que Polyxena est descendante. Ainsi que Ottokar et ils sont attires l'un par l'autre comme le fer et l'aimant. L'image d'une passion qui se transmet a travers les generation, c'est un archetype. Je continue de lire pour voir comment cet archetype est lie a la legende Jan Zizka. detail du tableau de Jan Matejko
Dernière édition par Orientale le Mar 7 Déc 2010 - 20:51, édité 1 fois | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 20:44 | |
| Quel fil épatant!! Du coup j'ai commandé le roman et le recueil de nouvelles fantastiques pragoises. | |
| | | Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 20:58 | |
| - Marko a écrit:
- Quel fil épatant!! Du coup j'ai commandé le roman et le recueil de nouvelles fantastiques pragoises.
C'est justement ces deux livres de Meyrink que j'ai achetes a Bruxelles. Je suis sure qu'ils vont te plaire, Marko, dans le livre "La nuit..." que je lis en commun avec shanidar et Nezumi, il y a du tout ce qui pourrait passionner - l'histoire, le passe reflete dans l'actualite, la psychologie de l'epoque, la legende renee, la guerre, l'amour, l'art, la religion - tout dans le cadre du fantastique! | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 22:50 | |
| a propos de Polyxena : - Spoiler:
son nom et sa prestance m'ont fait penser à Xena la guerrière, comme quoi les références...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 23:22 | |
| - shanidar a écrit:
- a propos de Polyxena :
- Spoiler:
son nom et sa prestance m'ont fait penser à Xena la guerrière, comme quoi les références...
- Spoiler:
pauvre Polyxena, si fatale, mystérieuse et sulfureuse, qui nous fait penser au dentier de Xena la guerrière...
|
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mar 7 Déc 2010 - 23:31 | |
| d'autant plus que Polyxena ressemble plutôt à : Les Prédateurs allezou sur cette image évocatrice : bonne nuit ! et n'oubliez pas de vous mirer dans un miroir vous y rencontrerez peut-être votre Moi ou la Mort ! | |
| | | Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 6:45 | |
| Ah, combien la periode avant Noel tombe mal (ou bien??? ) pour la lecture de Meyrink! J'ai commence le chapitre sur le moroir ou l'auteur a travers Flugbeil, le Medecin de la Cour imperiale passe en revue sa vie, en contemplant le moroir qui lui renvoie toutes les images a l'inverse, mais je n'ai pas pu le finir et y penser. Le miroir doit lui renvoyer une image de sa Liesel la Bohemienne comme ca: J'ai juste eu l'idee sur la place de l'acteur Zrkadlo dans le roman - serait-il le diabolique initiateur des evenements dans le roman ou l'initiateur de l'Eveil? | |
| | | Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 10:52 | |
| J’ai fini le chapitre “Dans le miroir” qui, dans la plus grande partie frise le grotesque, la parodie. Le discours que Zrkadlo tient a Flugbeil, frole la parodie – l’acteur qui parle du role du Moi pour chaque personne, qui annonce la Nuit de Walpurgis, mais la Nuit de Walpurgis cosmique (nuis beaucoup plus espacees et importantes pour l’Eveil, prends plusieurs images aux yeux du medecin de la Cour imperiale. Il est soit un masque mortuaire, soit le reflet du visage du medecin, encore enfant, dans une assiette en argent, soit un Mandchou moustachu. Le medecin - porteur de l’initiation dans le roman, est pret a l’Envol, mais c’est un envol avorte – Flugbeil n’est qu’un Pingouin dont les ailes ne sont que rudimentaires. L’acteur a des paroles de predicateur, on devrait entendre la parole divine par sa bouche. Il y a encore a dire et a analysr apres avoir lu ce chapitre...les dernieres paroles de Zrkadlo adressees au medecin lui conseillent de s’occuper de « la sante des ames ».
| |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 11:21 | |
| Il me semble que dans ce chapitre, Meyrink joue sur les contrastes : salle vide/salle pleine de l'auberge, Flugbeil est seul, livré à lui-même quand arrive une cohorte de joyeux lurons. Cet épisode qui finit tragiquement, m'a fait penser aux interventions dadaïstes. Le côté grotesque que souligne Orientale est à rapprocher de ces agitateurs hors du commun, qui cherchaient à transformer chaque geste du quotidien en un évènement absurde ou comique, dérisoire ou ironique. J'ai beaucoup aimé les réflexions sur l'esprit des autrichiens et cette opposition humour/sérieux, frivolité/gravité, Meyrink insistant sur le fait que les autrichiens sont sérieux ou drôles à contre-temps. L'intervention du miroir est intéressante dans la mesure où il agit en trois temps : d'abord Flugbeil se regarde (introspection), puis il se sert du miroir pour regarder dans la pièce à côté et à la toute fin du chapitre, le miroir se dérobe (comme si l'auteur effaçait la scène à l'aide d'une éponge, comme le fait Liesel effaçant l'ardoise sur laquelle elle a inscrit l'avenir d'Ottokar). L'idée qu'il existe dans l'espace un point de renversement de l'image, là ou le reflet devient la personne qui se regarde donne la sensation que nous entrons dans une nouvelle dimension. Si on part du principe que l'image du miroir est un double inversé, alors cette image n'est pas exactement celle de celui qui regarde (si je tiens un objet dans ma main droite, cet objet se trouve dans la main gauche de mon reflet), cependant il existe un espace dans lequel les deux images se rejoignent pour ne plus former qu'un seul être : c'est-à-dire le Moi que trouve Flugbeil, ce Moi qui lui parle du plus intime et du plus extérieur, ce Moi qui est tout à la fois présent/passé/futur, ce Moi qui est partout puisque chaque point de l'univers est un centre. Et ce centre est l'espace dans lequel les deux images du même se retrouvent. Or seule cette rencontre, ces retrouvailles du Moi permettent d'atteindre l'état d'esprit requis pour l'Envol (que je lis Eveil...), la grande initiation, le voyage cosmique dans la Nuit de Walpurgis. Je ne sais pas pour vous, mais j'éprouve une certaine frustration à la lecture de ce roman, l'impression de passer à côté d'une multitude de références et en même temps le sentiment que Meyrink nous offre une narration décousue, parfois un peu grossière, comme s'il avait écrit son texte en somnambule... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 12:36 | |
| - shanidar a écrit:
Je ne sais pas pour vous, mais j'éprouve une certaine frustration à la lecture de ce roman, l'impression de passer à côté d'une multitude de références et en même temps le sentiment que Meyrink nous offre une narration décousue, parfois un peu grossière, comme s'il avait écrit son texte en somnambule... Oui, nous savons ta curiosité pour le contexte autour de ce roman, et cela nous a valu des présentations passionnantes, merci ! Pour ma part, même si je sens que pas mal de références historiques et culturelles m'échappent, ça ne me frustre pas et produit au contraire une impression assez dépaysante, le roman devient une sorte de pays inconnu. J'ai parfois et même souvent le même sentiment avec la littérature japonaise. Me laisse porter par ce mystère sans chercher forcément à l'élucider. Même chose pour les personnages, leur passé, les liens entre eux. Pas mal de non-dit, mais là aussi ça ne me dérange pas, cela maintient un certain mystère aussi. Je vous rejoins ce soir pour mes impressions sur ce chapitre. |
| | | Orientale Agilité postale
Messages : 903 Inscription le : 13/09/2009 Age : 71 Localisation : Syldavie
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 13:36 | |
| shanidar a ecrit: - Citation :
- [...]cependant il existe un espace dans lequel les deux images se rejoignent pour ne plus former qu'un seul être : c'est-à-dire le Moi que trouve Flugbeil, ce Moi qui lui parle du plus intime et du plus extérieur, ce Moi qui est tout à la fois présent/passé/futur, ce Moi qui est partout puisque chaque point de l'univers est un centre. Et ce centre est l'espace dans lequel les deux images du même se retrouvent.
Je ne sais pas si Meyrink a approuve la theorie de Freud, je sens plutot transposer la doctrine psychanalitique sur un plan transcedenatl, global, tres philosophique. La rencontre de Flugbeil avec son double est le debut de son Eveil et surtout au moment ou il se reconnait lui-meme en Zdraklo. L'illumination correspond a l'integration des differents Moi qui composent la personne et elle arrive a une maturation. shanidar a ecrit: - Citation :
- J'ai beaucoup aimé les réflexions sur l'esprit des autrichiens et cette opposition humour/sérieux, frivolité/gravité, Meyrink insistant sur le fait que les autrichiens sont sérieux ou drôles à contre-temps.
Moi de meme, mais je me suis rappele qu'il y avait aussi une belle image de la psychologie praguoise - c'est Liesel qui disait a propos du detective deguise Brabetz: "Il est d'en bas. De Prague. Ils sont tous comme cela...Je crois que cela provient des vapeur qui sortent du sol.Tous finissent our devenir comme lui [...]Lorsqu'ils se croisent dans la rue, ils ont un sourire sardonique, rien que pour faire croire a l'autre qu'ils savent des choses sur lui [...]Tu n'as pas remarque qu'ils sont tous fou a Prague? Avec leur manie de secrets". (Comme si Meyrink n'a pas beaucoup aime les habitants de Prague). Nesumi a ecrit: - Citation :
- Oui, nous savons ta curiosité pour le contexte autour de ce roman, et cela nous a valu des présentations passionnantes, merci ! Pour ma part, même si je sens que pas mal de références historiques et culturelles m'échappent, ça ne me frustre pas et produit au contraire une impression assez dépaysante, le roman devient une sorte de pays inconnu. J'ai parfois et même souvent le même sentiment avec la littérature japonaise. Me laisse porter par ce mystère sans chercher forcément à l'élucider.
Même chose pour les personnages, leur passé, les liens entre eux. Pas mal de non-dit, mais là aussi ça ne me dérange pas, cela maintient un certain mystère aussi. Je suis entre vous deux. Je ne me sens pas frustree non plus, je reste sur le plaisir de lire et decouvrir Meyrink et son monde fantastique. Et je cherche des references qui me rendraient les idees de l'auteur plus claires, l'oeuvre doit avoir eu son contexte et l'auteur - ses motifs de l'ecrire tel quel. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 14:25 | |
| Freud lui-même n'était pas tout à fait net avec les 'sciences parallèles', il était passionné par la numérologie (d'après lui son numéro de tel lui prédisait l'âge de sa mort...) et il a pris rendez-vous avec une cartomancienne (accompagné par Jung, évidemment), mais ayant oublié l'adresse de la dame, ils n'ont pu s'y rendre... (sacré acte manqué...) Parlant de Jung (auteur de Psychanalyse et alchimie et Psychanalyse et orientalisme), je me permets de souligner que nombre d'initiés au New Age se sont servis des écrits de Jung pour corroborer leurs expériences des profondeurs (proche de l'idée d'initiation, de recherche du Moi primordial...). Jung est connu pour sa théorie des 'archétypes' et de l'inconscient collectif, ces évènements anciens qui structurent toute société et il me semble que Meyrink serait plus proche de Jung que de Freud. C'est mon avis et je ne suis pas une spécialiste. Je tire mes informations d'une biographie de Freud, un siècle de psychanalyse écrite par E. Rodrigué (lui-même psychanalyste), une bio controversée, rébarbative et assez iconoclaste. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 14:47 | |
| En relisant mes notes sur cette biographie de Freud, je suis tombée sur ça : Otto Rank : secrétaire de la Société de psychologie des Mercredis qui se réunit autour et chez Freud. C'et un technicien sérieux, efficace, se tenant éloigné des conflits. Il s'intéresse particulièrement à l'ombre et au double. En 1914, il publie Der Doppelgänger-Le Double, essai sur l'ombre et le reflet du miroir (d'un côté Narcisse de l'autre le portrait de Dorian Gray) à travers la littérature (Goethe, Wilde, Stevenson, Dostoïevsky...). ... cherchant quelques renseignements sur le Doppelgänger, il apparait dans la littérature entre autre comme un double 'réel' au pouvoir maléfique dont on doit se méfier. (Wikipédia). je me demande ce que cela fait de voir son âme... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Mer 8 Déc 2010 - 18:05 | |
| A propos du chapitre "Dans le miroir" je suis à nouveau partagée. Autant j'ai adoré la première partie, la description de cette fête décadente dans le restaurant, autant l'intervention bavarde de l'acteur Zdraklo m'a...ennuyée. Je connais trop mal la littérature psychanalytique pour y retrouver l'influence de Freud ou Jung, mais j'ai trouvé que ce discours interminable fleurait plutôt l'ésotérisme fumeux, avec ces histoires d'Eveil du moi, de dimensions cosmiques et la petite touche extrême-orientale de toute secte qui se respecte (avec même allusion à la Franc-maçonnerie). Dommage, je trouve que cette outrance affaiblit beaucoup la dimension fantastique et la tension de l'histoire. Cette deuxième apparition de l'acteur est donc bien moins forte et effrayante que la 1ere. Mais le début du chapitre est excellent, Meyrink décrit avec brio cette confrérie de bourgeois/dandies qui se livre à des excentricités gastronomiques. A les regarder par le biais du miroir, le Pingouin se retrouve à nouveau (après le télescope) dans un rôle d'observateur. |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis Jeu 9 Déc 2010 - 11:28 | |
| chap. Aweysha Que se passe-t-il lorsque le haut rencontre le bas ? lorsque les barrières sociales s'effacent le temps d'un dîner ? les langues se délient, l'étrange comtesse Polyxena devient un court instant comme l'égale de ceux qui croient aux légendes, aux trésors, aux secrets de la Bohême fiévreuse. Où l'on en apprend un peu plus sur le sang qui coule dans les veines de Polyxena, toujours plus effrayante, toujours plus mortifère, incarnation vivante d'une ancêtre sanguinaire. Où l'on découvre la transmigration du souffle, le passage de l'Esprit des morts dans celui des vivants (avec toujours le rappel de l'Orient, le Tartare, les chamanes et les fakirs, l'aweysha qui apportent l'exotisme du lointain et du troublant). Et puis en toile de fond, la révolte sociale qui gronde, évoquant et liant deux noms : Zizka et Ottokar. Une nouvelle fois, Meyrink saisit son auditoire pour l'emporter vers le fantastique (tout ce sang qui coule dans ce chapitre...), vers l'éclosion brutale des idéaux (amoureux, génétique, politique...) avec l'art consommé du conteur, du prestidigitateur, de l'hypnotiseur. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis | |
| |
| | | | Lecture en commun - Gustav Meyrink : La nuit de Walpurgis | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|