Que lisez-vous en septembre

Marko a écrit:

J'ai terminé la première partie de "A l'ombre des jeunes filles en fleurs" : Autour de Mme Swann et je pars à Balbec à la rencontre des dites jeunes filles dans Nom de Pays: Le Pays.

Je sais maintenant que je vais tout lire dans la continuité. C'est un seul et même gigantesque roman et je ne pourrai pas m'arrêter. Par contre ce sont vraiment des livres qui comptent double. Chaque page est très dense et je mets deux fois plus de temps que d'habitude à les lire. Mais quel plaisir

Et moi j'ai commencé comme prévu Du côté de chez Swann. Et je découvre un texte exigeant qui m'a posé problème dans mon train bondé. Mais un texte que j'ai finalement trouvé magnifique dans la quiétude tamisée de mon salon, au calme, sans pipelettes qui bavardent à côté de moi et qui me disturbent.

Maintenant je suis dedans (assez vite finalement). Les visites de Swann, les discussions avec le grand-père, les sarcasmes de la grand-tante, l'inquiétude de la grand-mère pour la santé fragile du jeune narrateur... Toute une atmosphère !


Mais oui, quel densité dans le texte. Je lis à deux à l'heure et ai l'impression de ne pas avancer. Et vu le nombre de pages... j'en ai jusqu'à la Toussaint !

sentinelle a écrit:

Le voyage de l'éléphant de José Saramago.

Je suis dans Retrait de marché de Clément Caliari, bof.....

"Tea Bag" Henning Mankell

"l'équation africaine" de Yasmina Khadra

je lis de manière totalement bordélique, en tombant de sommeil au bout de 3 pages...
Je lis donc toujours le Rêve du village des Ding; j'ai commencé Que ma joie demeure de Giono et le Hussard sur le toit (dans lequel je me suis fait prendre en comparant le style d'écriture avec Que ma joie demeure)
Bref c'est un peu n'importe quoi... d'ici que je finisse par imaginer qu'Angelo Pardi a choppé le sida en Chine en labourant un champs glacé, il n'y a qu'un pas

Igor a écrit:

Jean-Paul Dubois: "Vous plaisantez, monsieur Tanner"

Igor a écrit:

"Tea Bag" Henning Mankell

déjà terminé le Dubois? ou ne pas terminé?

Theo a écrit:

Bref c'est un peu n'importe quoi... d'ici que je finisse par imaginer qu'Angelo Pardi a choppé le sida en Chine en labourant un champs glacé, il n'y a qu'un pas

à moins que tu nous fasse un commentaire ou les lecteurs suivants ne se retrouvent pas, tout va bien

J'ai beaucoup de mal perso avec la structure de Saramago, pas de paragraphes, pas de ponctuation pour les dialogues et pourtant sa langue et sa manière de raconter sont magnifiques.

Kierkegaard a écrit:

et pourtant sa langue et sa manière de raconter sont magnifiques.

On est bien d'accord !

Harelde a écrit:

Mais oui, quel densité dans le texte. Je lis à deux à l'heure et ai l'impression de ne pas avancer. Et vu le nombre de pages... j'en ai jusqu'à la Toussaint !

Prends ton temps et viens donner tes impressions après

Marko a écrit:

Harelde a écrit:

Mais oui, quel densité dans le texte. Je lis à deux à l'heure et ai l'impression de ne pas avancer. Et vu le nombre de pages... j'en ai jusqu'à la Toussaint !

Prends ton temps et viens donner tes impressions après

Je n'y manquerai pas !

Kierkegaard a écrit:

J'ai beaucoup de mal perso avec la structure de Saramago, pas de paragraphes, pas de ponctuation pour les dialogues et pourtant sa langue et sa manière de raconter sont magnifiques.

Quand on a compris que la majuscule après la virgule est le signe distinctif du dialogue chez Saramago ça roule !
C'est vrai que sans aération de la page par des paragraphes ça donne une impression de lourdeur mais au final pas du tout dans mon cas.

Kierkegaard a écrit:

J'ai beaucoup de mal perso avec la structure de Saramago, pas de paragraphes, pas de ponctuation pour les dialogues et pourtant sa langue et sa manière de raconter sont magnifiques.

c'est d'ailleurs pour cela que je n'ai pas pu aller au bout du voyage de l'éléphant, trop désarçonnée par sa manière bien à lui d'écrire

Le tournant, Histoire d'une vie Klaus Mann, fils du célèbre Thomas, neveu de Heinrich, difficile de se faire un prénom quand on est l'enfant du plus grand écrivain de langue allemande de l'époque... Je lis ce gros livre aussi pour retrouver l'atmosphère des années 30-40, la montée du nazisme, l'exil de la famille Mann, l'Amérique d'alors...

shanidar a écrit:

Le tournant, Histoire d'une vie Klaus Mann, fils du célèbre Thomas, neveu de Heinrich, difficile de se faire un prénom quand on est l'enfant du plus grand écrivain de langue allemande de l'époque... Je lis ce gros livre aussi pour retrouver l'atmosphère des années 30-40, la montée du nazisme, l'exil de la famille Mann, l'Amérique d'alors...

je sais que ARTE avait diffusé dans le temps les 3 parties du film-documentaire "Die Manns", malheureusement il n'y a ni DVD ni autre information à trouver en français



pour les parties films il y a eu Armin Müller Stahl en Thomas Mann.. troooop bon

domage, si on ne va plus avoir la possibilité de voir cela en pays francophones.. en tout cas ce serait la documentation idéale qu'il te fallait pour l'instant.. toute entouré de la famille Mann que tu es

kenavo a écrit:

Igor a écrit:

Jean-Paul Dubois: "Vous plaisantez, monsieur Tanner"

Igor a écrit:

"Tea Bag" Henning Mankell

déjà terminé le Dubois? ou ne pas terminé?

Rapidement terminé, une suite de petits chapitres (1 à 2 pages) qui décrivent le cauchemar vécu lors de la restauration d'une vieille demeure avec les artisans.
C'est rigolo quoique un peu exagéré...