Que lisez-vous en juillet ?

Crossfire, de Miyabe Miyuki.

Queenie a écrit:

aeriale a écrit:

Je suis dans la dernière partie de Rosy Carpe, et malgré l'aspect dérangeant et morbide de cette histoire complètement hors normes où tout paraît glauque, je suis une fois de plus prise dans ses filets.

Vraiment fascinant cette façon qu'elle a a de nous accrocher au texte. Elle doit être un peu sorcière Marie N'Diaye!

Hé! Faut pas dire ça comme ça à la légère ! Si c'est vrai ça pourrait bien lui déplaire cette façon que t'as de tout balancer comme ça... Et si elle nous balance un mauvais sort hein !

Inconsciente Aériale...

Oui mais c'est notre petite sorcière bien-aimée Marie N'Diaye...Elle sait qu'on l'aime à la folie sur Parfum

Maryvonne a écrit:

Encore un qui traîne dans ma PAL depuis une éternité...
Peut être que ton commentaire sera le déclic

J'ai crois que c'est triste, même limite sinistre, c'est pour ça que j'attendais le bon moment

Toujours dans Anatomie d'un crime d'Elizabeth George et, en parallèle, L'amour est très surestimé de Brigitte Giraud.

Sophie a écrit:

Toujours dans Anatomie d'un crime d'Elizabeth George

Dans ma PAL, mais comme on ne suit pas Lynley, j'ai un peu peur d'être déçue...

J'ai lu hier Chouette, une ride d'Agnès Abécassis, un roman amusant, léger et pétillant comme une bulle de champagne.
Là, je viens de commencer Monster de Patrick Bauwen.

Je lis Ru.

Villes mythiques, l'enchantement des voyages de Pierre Gilloire fut une lecture sans le moindre intérêt, j'espère mieux tomber avec ma lecture suivante, je vais me lance dans La navigation du faiseur de pluie de Jamal Mahjoub.

Le Laboureur des eaux : Hoda Barakat, Actes Sud éd.
Elle écrit bien cette Libanaise...
Drole d' histoire que celle de ce Libanais commerçant, fils de commerçant qui se réfugie dans
un dépot d' étoffes de qualité que la guerre a épargné, et qui évoque les souvenirs de sa famille disparue, et son amie Chamsa, disparue elle aussi.
Et qui survit ainsi dans ses souvenirs en attendant que la guerre puis la paix laissent place à une nouvelle vie, un nouveau peuple...
A l' image de Beyrouth plusieurs fois détruite et chaque fois renée de ses cendres.
Un beau livre !

Cicatrices, de Ian Rankin

Diderot, tome 2 de Sophie Chauveau. Toujours aussi passionnant.

Arabella a écrit:

J'ai crois que c'est triste, même limite sinistre, c'est pour ça que j'attendais le bon moment

ah mais non.. ce livre de Plath n'est pas triste.. une sorte de Holden Caulfield au féminin

kenavo a écrit:

une sorte de Holden Caulfield au féminin

J'aurais besoin d'une explication moi, désolée de mon ignorance