Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Pedro Almodovar

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MessageSujet: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyVen 2 Fév 2007 - 11:57

Pedro Almodovar Almodo10
Pedro Almodóvar Caballero est un réalisateur de cinéma espagnol, né le 24 septembre 1949 à Calzada de Calatrava dans la province de Ciudad Real et la communauté autonome de Castille-La Manche, en Espagne. Il est l'un des cinéastes emblématiques de la nouvelle vague espagnole.

Ce réalisateur mérite bien qu'on lui consacre un fil?
Quels sont les films d'Almodovar que vous avez vus? Qu'en avez-vous pensé? Que savons-nous du parcours artistique de ce réalisateur? De son univers?


Citation :
Filmographie/Index (Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages)

1978 : Salome (court métrage amateur)
1978 : Folle, folle, folleme Tim ! (film amateur)
1980 : Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier (Pepi, Luci, Bom y otras chicas del montón)
1982 : Le Labyrinthe des passions (Laberinto de pasiones)
1983 : Dans les ténèbres (Entre tinieblas)
1984 : Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? (¿Qué he hecho yo para merecer esto?)
1985 : Matador
1986 : La Loi du désir (La ley del deseo) Pages 5, 6
1988 : Femmes au bord de la crise de nerfs (Mujeres al borde de un ataque de nervios)
1989 : Attache-moi ! (¡Átame!)
1991 : Talons aiguilles (Tacones lejanos)
1993 : Kika Page 7
1995 : La Fleur de mon secret (La flor de mi secreto)
1997 : En chair et en os (Carne trémula)
1999 : Tout sur ma mère (Todo sobre mi madre) Pages 1, 2
2002 : Parle avec elle (Hable con ella) Page 1
2004 : La Mauvaise Éducation (La mala educación) Page 10
2006 : Volver Pages 1, 2, 3
2009 : Étreintes brisées (Los abrazos rotos) Pages 4, 5
2009 : La Conseillère anthropophage (La Concejala antrópofaga) (court-métrage)
2011 : La piel que habito Pages 7 à 10
2013 : Les Amants passagers (Los amantes pasajeros) Pages 11

Citation :
mise à jour à la page 12 le 07/05/2013
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyVen 2 Fév 2007 - 12:06

Volver
présenté en compétition au Festival de Cannes 2006
Pedro Almodovar Almodo11

Avec Penelope Cruz, Carmen Maura, Lola Duenas…

L’histoire se situe à Madrid et dans la Mancha, région d’origine d’Almodovar, où le vent ne cesse de souffler, propage le feu et rend les gens fous.
Raimunda (Penelope Cruz) travaille durement pour faire vivre sa fille adolescente et son mari, un alcoolique chômeur qui lorgne sous les jupes de la petite. Sole (Lola Duenas), abandonnée par son mari, se débrouille en exerçant le métier de coiffeuse chez elle, au noir. Raimunda et Sole sont sœurs, originaires d’un petit village de la Mancha.
Au début du film elles y reviennent pour rendre visite à leur vieille tante et à sa voisine Agustina (Blanca Portillo),
"La famille de Volver est une famille de femmes. (...)D'ailleurs, Volver rend hommage à la voisine solidaire, cette femme célibataire ou veuve, qui vit seule et qui fait sienne la vie de la personne âgée qui vit à côté. Ma mère a vécu les dernières années entourée et assistée par ses voisines."
La mort, déjà omniprésente dans l’histoire des deux soeurs, vient frapper à nouveau…

Mais ce film marie les genres : l'émotion et l'humour… le réalisme et le fantastique qui fait incursion dans le quotidien.

"Je suppose que Volver est une comédie dramatique. Il y a des séquences amusantes et des séquences dramatiques. Son ton imite "la vie", mais sans être une comédie de moeurs. C'est plutôt un naturalisme irréel, si ça pouvait exister." dit Almodovar.

« Le fait d'inclure un fantôme dans l'histoire est un élément comique, surtout si on le présente d'une façon réaliste." "Dans mon village ces choses arrivent, (j'ai grandi en écoutant des histoires de fantômes), bien que je ne crois pas à ces apparitions. Sauf si ça arrive aux autres, ou dans la fiction.". "

Penelope Cruz :
Elle est ici comme on ne l’a jamais vue…C’est une véritable révélation de sa palette d’actrice. En femme du peuple , ébourriffée, on lui découvre une énergie, une puissance qu’on ne lui connaissait pas et qui se marie, d’un instant à l’autre, avec sa fragilité, sa sensibilité.
Le réalisateur dit d’elle :
"Quand il le faut, elle possède une énergie explosive, mais Raimunda est aussi une femme fragile, très fragile. Elle sait (et doit, quand le scénario l'exige) être furieuse et l'instant suivant s'effondrer comme une petite fille sans défense. Cette troublante vulnérabilité de Penelope Cruz m'a énormément surpris, ainsi que la rapidité qu'elle a de se connecter avec ce sentiment. C'est un spectacle impressionnant de voir en premier plan les yeux secs et menaçants de Penelope Cruz qui soudain se remplissent de larmes, des larmes qui parfois jaillissent comme un torrent, ou bien dans d'autres scènes s'humidifient sans jamais déborder." …

La musique du film est très Tango. D’ailleurs, « VOLVER », cela veut dire « Revenir ». Et c’est le titre d’un célèbre tango de Carlos Gardel qu’on entend dans le film. La chanson semble interprétée par Penelope Cruz (très beau moment) mais la voix est celle d’ Estrella Morente.. Elle lui donne une interprétation « flamenca » (je ne sais pas si je peux dire les choses comme ça!).
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 12:51

C’est un réalisateur que j’aime beaucoup, à part Volver, j’ai d’ailleurs dû voir tous ses films.
Il arrive à concilier et à mettre dans ses oeuvres ce qui fait la quintessence et l’ambiguïté de l’être humain : sa soif de sécurité et sa soif de passion…même si ses héroïnes cèdent bien souvent à la seconde, elles aspirent à la première, ce qui les rend vulnérables, ce qui nous rend vulnérables…

Sans compter qu’il est un remarquable dénicheur de talent et directeur d’acteurs, plutôt d’actrices d’ailleurs…

A voir en VO, la langue espagnole est musicalement tellement adaptée à ses propos.
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 13:02

sousmarin a écrit:


A voir en VO, la langue espagnole est musicalement tellement adaptée à ses propos.

Je préfère toujours voir les films en V.O...

J'ai vu récemment La mauvaise éducation...Il faudrait que j'en dise un petit mot...
Je crois que j'ai aimé tous les films d'Almodovar...Ily en a plusieurs que j'ai vus et revus...
Et pour un homme dont on sait qu'il n'est pas amoureux des femmes, il est évident qu'il les aime tout de même beaucoup...Il a créé de magnifiques personnages de femmes. Et ses actrices le disent.
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 15:32

Le Prix d'Interprétation féminine a été remis à toutes les actrices de Volver lors du Festival de Cannes 2006
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 16:02

Rien que de vous lire me donne envie de revoir tous ses films...
Du premier "Attache -moi " que j'ai pu voir , drôle et profond à la fois , aux merveilleux "Talons Aiguilles " , Tout sur ma mère " ou "Parle avec elle" ,je n'ai jamais été déçue ...

Il y a cette sensualité , ce côté à la fois charnel où l'âme se révèle dans ses moindres recoins , et puis cette façon de nous embarquer dans ces histoires où l'émotion est à fleur de peau , toujours .
Je suis vraiment fan de ce "grand " artiste !

Le seul film qui m'ait moins marquée peut-être est "La mauvaise éducation ", un peu décevant en rapport au reste ..
J'ai raté "Volver" et je le regrette car j'aime découvrir ses oeuvres sur grand écran , la magie n'est plus la même en DVD ..
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 18:37

Pas facile à voir sur grand écran en VO…c’est quand même un « grand » Very Happy avantage du DVD…
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 18:51

J'ai plusieurs B.O de films d'Almodovar car j'apprécie aussi toujours ses choix musicaux:

Personne n'a oublié les chansons de Talons Aiguilles interprétées par Luz Casal: Piensa en mi et Un ano de amor.


Piensa en mi, cliquez ici
Un ano de amor, cliquez ici


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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyJeu 15 Fév 2007 - 18:54

J'ai découvert Caetano Veloso dans Parle avec elle où il interprète lui-même dans le film la chanson Cucurrucucu Paloma.

Caetano Veloso dans Cucurrucucu Paloma, cliquez ici


Dernière édition par le Dim 4 Mar 2007 - 23:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyDim 4 Mar 2007 - 18:14

Dicen que por las noches/Nomas se le iba en puro llorar/Dicen que no comia./Ay, ay, ay, ay, ay...
P-S : je ne comprends pas tout (envoyez-moi ou mettez-nous la traduction Wink ) > je réitère ma demande (je n'ai pas fait d'espagnol et... Oh! Comme je le regrette!) J'adore Caetano Veloso en le découvrant ici.
-J'ai donc vu ce w-end " Parle avec elle ". Un bonheur.
Je croyais que chez Almodovar il n'y avait que des histoire de c... N'importe quoi! Quelle honte moi Embarassed je compte sur les inconditionnels du réalisateur pour m'inciter à modifier définitivement mes préjugés. Tour d'abord Volver sera ma priorité : la bande annonce fait plus que me séduire.
( Je garde le vague souvenir d'avoir vu "Attache -moi " mais ça m'avait un peu agacée. Difficile de passer 1h50 et plus avec un psychopate et une nana qui, entre deux fantasmes, ne sait pas trop ce qu'elle veut. )
-Ma confrontation avec Benigno, infirmier spécialisé dans les soins donnés aux comateux condamnés par le corps médical, ne fut pas facile non plus. - A l'évidence cet adulte n'a pas pu finir de se construire lorsque, dès l'adolescence, on imagine qu'il fut un objet obscurément rédempteur pour une mère malade, insatisfaite, peut-être même perverse, qui lui vola son enfance et la possibilité de devenir -sinon humain (bcp d'humanité chez ce personnage qui va trouver sa voie en infirmier modèle), un être à part entière.
Si Benigno a le don de réussir à sortir du coma en leur parlant et avec les soins physiques (euh...charnels) appropriés, quelque créature, il me mets mal à l'aise en pensant que son cheminement personnel n'a rien de singulier et l'on est légitimement tenté de le considérer comme débile.
Cependant, de nombreuses questions se posent alors : celles des soins palliatifs, celles des larmes (la séparation, la beauté d'un spectacle (Pina Bausch exprimant par la danse des corps les émotions,

Un hommage qu cinéma (muet) avec L'homme qui rétrécissait... Le réalisateur a composé ce morceau, en noir & blenc, en muet, après avoir vu ou revu les films de Fritz Lang.
Des signes : le regard du taureau sur Lydia, femme torero, après l'avoir renversée; un visage jouissant dont le contour nous en livre un autre ns renvoyant ds le présent, hors du fantasme de L'homme qui rétrécissait, le "Il faudra qu'on se parle" à jamais éludé, le peur du serpent, l'homme qui regarde à sa fenêtre, la danseuse portée à bout de bras, les protagonistes réunis autour de Veloso...


Dernière édition par le Lun 5 Mar 2007 - 16:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyDim 4 Mar 2007 - 20:53

Ah!...Merci Babelle!...
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptySam 17 Mar 2007 - 18:55

TOUT SUR MA MERE

Pedro Almodovar Pfilm37741143255089hf4

J’ai regardé à nouveau ce film hier soir en DVD…Ce qui m’a valu de me réveiller ce matin dans le pire cauchemar qu’on puisse imaginer. J’aime mieux ne pas le raconter…le cauchemar est dans le film.
Je sais cependant que je regarderai encore ce film magnifique…Je choisirai juste un moment mieux approprié.

Manuela (Cecilia Roth )est infirmière. Elle élève seule son fils Estaban. A l’occasion de l’anniversaire de ce dernier, ses 17 ans, ils vont ensemble au théâtre voir « Un tramway nommé Désir »
Manuela dit à son fils qu'elle a interprété le rôle de Stella par le passé. Dans une troupe d’amateurs. Et que son père jouait le rôle de Kowalsky. Elle ne parle jamais à Esteban de son père.

A la sortie de la représentation, Esteban , malgré la pluie veut attendre la comédienne, Homa Rojo (Marisa Paredes) pour obtenir son autographe. Mais elle s’engouffre dans un taxi qui démarre aussitôt.
Esteban court après la voiture et se fait renverser par un autre véhicule…

Après la mort d’ Esteban, Manuela lit dans un cahier dont le jeune homme ne se séparait jamais : "Hier soir, maman m'a montré une photo; il en manquait la moitié. J'ai l'impression que la même moitié manque à ma vie."

Folle de douleur, elle part a la recherche de l'homme qu'elle a aimé, le père de son fils. Après avoir vécu 17 années à Madrid, elle retourne à Barcelone pour y rechercher Lola, son amour, un travesti .

A Barcelona, Manuela retrouve Agrado, un transexuel au coeur d'or, puis la généreuse soeur Rosa (Penelope Cruz), fille de bourgeois qui fait des copies de tableaux de Chagall. Elle retrouve également Nina et Huma, les comédiennes du « Tramway… »qui sont venues à Barcelone dans le cadre de leur tournée .

Pedro Almodovar:
"Le titre Tout sur ma mère vient de All about Eve de Mankiewicz, un film qui, entre autres thèmes, aborde celui des femmes et des actrices. Des femmes qui se confessent et se mentent les unes aux autres dans la loge d'un théâtre convertie en sanctuaire de l'univers féminin. La loge me renvoie au patio de mon enfance.
L'image d'un groupe de femme symbolise pour moi l'origine de la vie, mais aussi l'origine de la fiction et de la narration."


"Elles sont non seulement le sujet de Tout sur ma mère, mais plus encore le film leur est dédié. En particulier les actrices qui, à un moment donné, ont joué des actrices. Les films qui reflètent le monde du cinéma m'ont toujours intéressé. Je pense plus précisément à ceux qui racontent des histoires d'acteurs, de réalisateurs, d'écrivains, de figurants, d'imitateurs de stars. Les films dont le sujet est le cinéma en soi et les personnes qui le font. Dans ce genre, les films qui m'attirent le plus sont ceux dont les rôles principaux sont tenus par des femmes. Dans la dédicace finale, je cite trois de celles qui m'ont produit les émotions les plus fortes : la Gena Rowlands de Opening Night, la Bette Davis de All about Eve et la Romy Schneider de L'important c'est d'aimer. L'esprit de toutes les trois imprègne de fumée, alcool, désespoir, folie, désir, abandon, frustration, solitude, vitalité et compréhension les personnages de Tout sur ma mère. »

Ce film est sensible, intelligent, plein d'humour et surtout plein d'amour.

" Tout sur ma mère " dit la plus grande blessure dans la vie d'une mère : la mort de son enfant. Mais le film parle aussi de la capacité surhumaine d'une femme à surmonter la douleur provoquée par cette perte, sa capacité à pardonner aussi.
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptySam 17 Mar 2007 - 19:03

Dans Tout sur ma mère, la très belle chanson d' Ismael Lo: TAJABONE...

Je voulais mettre un lien pour que vous puissiez la ré-écouter mais Radio Blog et BlogMusik ne marchent pas...

Ici, c'est trop peu:
Cliquez ici

Est-ce que quelqu'un connaît un autre lien pour l'écouter?
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyDim 18 Mar 2007 - 1:19

Je crois que "Tout sur ma mère" est le film d'Almodovar qui m'a le plus émue. C'est un magnifique portrait de femme, oui. Mais je n'ai pas encore vu Volver , qui est passé dans les salles de Papeete ( une semaine.....) mais en VF, et c'est évident que ça gâche tout. Je vais le louer!
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MessageSujet: Re: Pedro Almodovar   Pedro Almodovar EmptyDim 18 Mar 2007 - 10:20

Marie a écrit:
Je crois que "Tout sur ma mère" est le film d'Almodovar qui m'a le plus émue. C'est un magnifique portrait de femme, oui. Mais je n'ai pas encore vu Volver , qui est passé dans les salles de Papeete ( une semaine.....) mais en VF, et c'est évident que ça gâche tout. Je vais le louer!

Il y a dans Volver de très beaux portraits de femmes aussi...Tu ne seras pas déçue...
Et je suis d'accord avec toi, Tout sur ma mère est aussi le film d'Almodovar qui m'a le plus émue (même si je les aime presque tous :) ).
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