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| Voyages Virtuels | |
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Auteur | Message |
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kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 23 Jan 2009 - 18:02 | |
| Le fil de Frida Kahlo ICI m’a donné envie de faire un voyage au Mexique Mexico (Mexique) Et c’est d’autant plus joyeux puisque je retrouve dans le livre de Nathalie de Saint Phalle un personnage qui m’est “familier” : - Citation :
- Autres lettres de l’amour sublime, celles d’Arthur Cravan à Mina Loy, en décembre 1917. Le poète précurseur du mouvement Dada, créateur en 1912 de la revue Maintenant qu’il a rédigée seul sous des noms divers, se dit « chevalier d’industrie, marin sur le Pacifique, rat d’hôtel, neveu d’Oscar Wilde, bûcheron dans les forêts gérantes, ex-champion de France de boxe, petit fils du chancelier de la reine, chauffeur d’automobile à Berlin, cambrioleur, etc., etc. ». De toutes ses forces de boxeur, il appelle Mina Loy, sa copmagne poète des Aphorismes sur le futurisme, restée à New York après le scandale de la conférence sur l’art à la Grand Central Gallery où il s’était déshabillé face à un parterre de dames puritaines, à venir le retrouver à Mexico, où il dépérit sans elle. Lorsqu’il est parti, elle lui a juré de venir….
On a envie de connaître plus de ces personnages, non ?? Je vais en parler sur le fil quand l’imaginaire rencontre la réalité ICIAntonia Logue, Double coeur | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Sam 24 Jan 2009 - 15:35 | |
| Je vais remonter à la 1ère page pour te suivre...............de loin merci Kenavo ! | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 3 Avr 2009 - 18:36 | |
| Puisque j’en ai parlé de Dorothy Parker sur le fil de Dawn Powell ici, faut quand même faire un tour dans son hôtel préféré – aussi longtemps qu’elle n’a pas de fil chez les Parfumés, elle va attendre par là New York – The Algonquin De 1907 à 1946, Frank Case, parce qu’il aimait les écrivains, les accueillit dans son hôtel en accordant et prolongeant des crédits à ceux qui lui plaisaient. L’initiative de « la Table Ronde de l’Algonquin » lui revient. Dès 1920, et pendant vingt ans, une trentaine de personnes se réunirent lors de repas dans la Pergola Room (devenue l’Oak Room) puis dans la Rose Room, pour échanger leurs opinions et leurs convictions littéraires. Les membres fondateurs, tous critiques, journalistes et éditeurs influèrent sur le style de la littérature contemporaine : Aleck Woollcott, Heywood Bron, Frank Adams, John Peter tooley, Robert Benchley, Geroge Kaufman, Marc Connely, Robert Sherwood, Harold Ross et Dorothy Parker. Un lien fut très tôt établi avec le monde du cinéma par la présence, parmi d’autres, de Preston Sturges mort à l’hôtel en 1959, de Herman Mankiewicz ou de Harpo Marx. Tous avaient en commun de fortes personnalités (humour, acidité, méchanceté, phobies, hypocondrie, frustrations), et se montraient particulièrement tolérants face à cet ensemble de pathologies. On aurait pu parler d’une officieuse psychothérapie de groupe. Nathalie H.de Saint PhalleIl existe un film qui montre ses années –et surtout Dorothy Parker au milieu- qui s’appelle Mrs Parker et le Cercle vicieux avec Jennifer Jason Leigh dans le rôle principale. Mais tout cela reste fade, un peu sous-exposé Choisissez plutôt un de ses livres – ses nouvelles ou quelques unes de ses pièces de théâtres sont sublimes | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 12 Juin 2009 - 19:49 | |
| Je vous ai déjà emmené à Venise – mais puisque John Ruskin - ici – semble me poursuivre : je viens de le trouver aussi dans le livre de Nathalie de Saint Phalle et ses Hôtels Littéraires – et naturellement aussi le titre de son livre qui se trouve dans ma PAL je pense que je lui dois un autre voyage à Venise Hôtel Gritti Palace – Venise Si le Cipriani ne se souvient de la présence d’aucun écrivain en particulier, tout en ayant la certitude qu’ils furent nombreux à le préférer aux autres, la légende du Gritti, le fastueux palais du doge Andreas Gritti derrière une simplissime façade émane de ses souvenirs littéraires… John Ruskin écrivant là Les Pierres de Venise, Charles Dickens ne travaillant nulle part aussi bien, Ernest Hemingway allant du Gritti, « le meilleur hôtel dans une ville de grands hôtels », « ce qu’il y avait de mieux si on se moquait des flagorneries », au Harry’s bar et retour pour organiser dans sa chambre, devenue la chambre « Hemingway », des parties de cricket sur les tapis précieux entre les pieds des meubles anciens, Jean Cocteau au temps de Jean Marais, Somerset Maugham, expert en palace de rêve, confiant qu’ »il y a peu de choses plus agréables à faire dans la vie que de s’asseoir à la terrasse du Gritti lorsque le soleil se couche, baignant de couleurs merveilleuses la Salute qui vous fait presque face », raison pour laquelle, année après année, il revint, ….Et voilà aussi le livre du Monsieur John Ruskin, Les pierres de Venise | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Lun 3 Aoû 2009 - 22:56 | |
| Je ne sais pas si vous avez vu hier soir la documentation sur Sils-Maria et l’hôtel Waldhaus (ARTE) site (malheureusement pas disponible en français)En tout cas cela m’a donné envie de partir tout de suite en voyage.. et en plus un de leurs visiteurs dans le temps est ce mois sur notre portail.. raison en plus de vous présenter cet hôtel de charme : Hôtel Waldhaus (Sils-Maria)site de l'hôtel La tour crénelée du Waldhaus de “Scottish baronial style”, émerge de la forêt de sapins qui dévale la pente du Piz Margna jusqu’aux premières maisons de Sils. Le grand hôtel a été édifié huit ans après la mort de Nietzsche, là où la vue sur les montagnes, la prairie et les lacs bleus de Silvaplana et de Segl est la plus apaisante, la plus admirable dans sa perfection.Hermann Hesse, abandonnait l’été sa villa rouge de Castagnola surplombant le lac de Lugano, y a passé plus de trois cent soixante-cinq jours si l’on additionne ses séjours annuels de 1949 à 1961, peu avant sa mort. Il se consolait en altitude de ne pouvoir assister en souriant au déclin de l’humanité, avec Ninon, sa femme « sans qui le monde n’est pas du tout beau »…Thomas Mann vint l’y retrouver en 1950, un an après le suicide de Klaus qui séjournait souvent à Sils, avec Erika, dans la maison d’Annemarie Schwarzenbach devenue depuis la bibliothèque du village. […] Thomas Mann écrivit ; « Je réitère toujours : cette Haute-Engadine est la plus belle retraite du monde. Je ne parle pas à la légère du « bonheur », mais je crois, à peu de choses près, que je suis heureux ici. »
Dernière édition par kenavo le Jeu 18 Aoû 2011 - 14:37, édité 1 fois | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Mar 22 Sep 2009 - 21:05 | |
| Après que Nezumi a posté les ciels sur le fil photo, je savais que le prochain voyage devrait aller à Nantes.. et la ville est dans le livre avec les Hôtels Littéraires Hôtel de France, Nantes Le 6 janvier 1919, Jacques Vaché meurt d’une overdose d‘opium dans une chambre de l’hôtel de France de Nantes. […] Ainsi est mort Jacques Vaché, dandy jarryesque qui exerça une fascination dévastatrice sur Breton qui en fit un des héros fondateurs du surréalisme en publiant ses Lettres de guerre, peu après son suicide. Car, pour Breton, le mythe naît du suicide : « Sa mort eut ceci d’admirable qu’elle peut passer pour accidentelle », et la thèse de l’inexpérience du jeune anarchiste, scandaleux, ne préserve que l’honorabilité des familles. […] Dans La Forme d’une ville, Nantes, minutieusement dépeinte, Julien Gracq accrédite au détour d’une rue l’idée de la mort volontaire… « Juste en face du Molière, dans le mur maintenant aveuglé, continue à se creuser pour ma mémoire le porche de l’ancien hôtel de France, avec son hall étouffé de plantes vertes, son accueil discrètement ombragé et le suicide de Jacques Vaché comme un ruban surréaliste à sa boutonnière d’aujourd’hui cousue. »le fil de Julien Gracq est icilien vers un site sur Jacques Vaché | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Mer 14 Oct 2009 - 20:44 | |
| Après une 'semaine nobélisée' Grand Hôtel – Stockholm - Citation :
- “Prix Nobel? Absurde: je ne suis pas candidat”, écrit en post-scriptum Saint-John Perse à Roger Caillois le 26 janvier 1953. Mais en 1960, le Nobel lui est tout de même décerné et il s’envole pour Stockholm. On l’installe au Grand Hôtel, comme tous les autres lauréats. Contrairement à Larbaud venu pour son propre plaisir, parce que « le Grand Hôtel contient tout ce qu’on peut désirer chez soi. Je m’y suis arrangé une vie régulière, propre, sans contacts, parmi des livres et des fleurs », ou encore à Berberova le comparant à un « no man’s land », tous les écrivains venus recevoir leur prix et prononcer un discours, sont pris par un maelström de mondanités.
Et puis Nathalie H.de Saint Phalle donne la liste de tous les Nobel littérature qui étaient dans cet hôtel.. pas mal de ceux-là sont présent sur Parfum.. je voudrais bien retenir un : J.M.Coetzee (fil ici) en 2003 puisque le film basé sur son roman va bientôt sortir : Disgrace avec John Malkovich | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Dim 13 Déc 2009 - 11:06 | |
| Taegu, Coréeen principe je ne prends que des extraits du livre de Nathalie de Saint Phalle.. voici un texte qui est quand même trop beau pour ne vous donner que la moitié : - Citation :
- Il n’y a plus de bout du monde, plus de territoires inexplorés, plus d’aventures qui n’aient été auparavant vécus par d’autres et il y a trop de voyageurs. Ou trop de touristes et pas assez d’aventuriers, curieux du monde comme d’eux-mêmes, s’abîment à s’essayer à d0autres vies, à briser les on-dit, à refuser les préjugés, ouverts, attentifs, sensitifs, solitaires et reconnaissants à la vie même de sa diversité, du meilleur au pire, le pire étant souvent la meilleure manière de percevoir. Le voyageur ne sait pas nécessairement où il va. Il part vers un lieu qu’il n’atteindra pas forcément. Il peut à tout moment modifier sa trajectoire. Rester à un endroit qu’il ne comptait que traverser, suivre quelqu’un, ou les conseils d’un inconnu. La ville ou les paysages peuvent être beaux, mais ceux qui ne le sont pas le marqueront peut-être à vie. Quant à savoir où il dormira le soir même, il sera bien temps d’y penser à l’heure où le soleil se couche.
Les villes les plus affreuses, les plus tristes, les plus polluées, n’ont jamais gâché un voyage, elles ne ruinent que la vie de ceux qui ne peuvent en sortir. Nicolas Bouvier, arrivé en train à Taegu, en Corée du Sud, sait qu’il n’y restera pas. Cela suffit pour supporter la pire des nuits.. « Interminable agglomération – je n’ose pas dire ville – blessée, noirâtre, excrémentielle, dont les nouvelles constructions ont déjà l’air de ruines. À mettre, avec Oshiamanbe (Nord-Japon) et Radauci (dans la Moldavie de Ceaucescu) au palmarès des lieux à quitter aussitôt sous peine de conséquences incalculables. » La chambre de l’auberge où le taxi l’a conduit est « absolument nue. Deux minces paillasses posées côte à côte sur un linoléum chocolat deux oreillers de noyaux de cerises. Auberge de petites putes : au chevet, des paillasses, le mur est constellé de chewing-gums collés n’importe où par les filles, lorsqu’un client a eu le besoin de leur bouche. Ne pas traîner ici plus qu’il n’est nécessaire… » Le voyage est pour lui une voie d’accès à la connaissance parmi d’autres « moyens libératoires ». « L’érotisme pour la philosophie tantrique, l’opium pour Thomas de Quincey, l’absinthe de Verlaine, la marche pour Rimbaud, la mer pour Conrad. À chacun de trouver son sésame. Et aucune loi céleste n’oblige à choisir le plus ingrat. « Mais il n’a pas non plus choisi la voie la plus aisée.. » Si on ne laisse pas au voyage le droit de nous détruire un peu, autant rester chez soi. » le fil de Nicolas Bouvier iciet le fil pour découvrir des endroits plus jolis de la Corée: ici | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 9 Avr 2010 - 12:22 | |
| Baton Rouge - Citation :
- La ville de Bâton-Rouge est la capitale de l'État de Louisiane, aux États-Unis, et est la deuxième ville la plus peuplée de cet État, suivant la croissance et la décroissance temporaire de sa population due à l'afflux de réfugiés depuis le passage de l'ouragan Katrina sur la Nouvelle-Orléans en 2005.
wikipedia Je suis en pleine lecture dans le roman D'amour et de poussière de Ernest J.Gainesson fil est iciet l'histoire se déroule sur une plantation à 20 minutes de Baton Rouge.. j'avais envie d'y faire un petit voyage | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 13 Aoû 2010 - 20:04 | |
| À cause de notre LC sur l’espace caraïbe, ici, une petite escale à Cuba s’impose La Havane, Cuba - Citation :
- La Havane, l’ex-bordel des Etats-Unis d’avant le communisme tropical est la ville de la Chasse à l’homme d’Alejo Carpentier, celle de la « jeunesse syphilitique, fumeuse d’opium et de marijuana. Faim des Antilles. Douleur des Indes occidentales ingénues » de Nicolas Guillen, le poète métisse dans « le barbare tumulte de l’infernale métropole ». C’est le Paradiso des siestes « pour effacer le temps par le sommeil » de José Lezama Lima, le sphinx des Caraïbes qui a écrit un livre de cut-ups naturels et de rapprochements arbitraires, hermétiques et superbes, pour « faire de sa vie une obsession de déchiffrement qui ne détruise jamais les choses ». C’est la ville des aveux extorqués à un poète, Herberto Padilla lors de son autocritique, et c’est encore celle des amours face à la mer de cabrera Infante, aussi bruyantes et éternelles que le ressac.
Nathalie H. De Saint Phalle | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Sam 14 Aoû 2010 - 14:17 | |
| ce fil est un voyage que je peux me permettre.
merci Kena !
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| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Sam 14 Aoû 2010 - 16:35 | |
| - Bédoulène a écrit:
- ce fil est un voyage que je peux me permettre.
de même pour moi | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Jeu 23 Sep 2010 - 11:52 | |
| Il n'y a pas de hasard Voilà que je regarde dans le livre de Nathalie H. De Saint Phalle pour voir s'il reste encore des hôtels littéraires pour notre LC sur le monde caraïbe, et voilà que je tombe sur ceci: Jacmel (Haïti)Hôtel Manoir Alexandra (Jacmel)Au sud de Port-au-Prince, la baie de Jacmel s’offre aux vents caraïbes. Ses toits de zinc sont rouillés et ses palmiers recourbés par la fréquence des cyclones, mais le Manoir Alexandra Hôtel résiste aux intempéries climatiques et politiques. Tandis qu’il s’enlise dans l’oubli, les plantes tropicales continuent à grimper le long des jardins en terrasses, des vérandas et des galeries dallées de céramiques florales ou géométriques tournées vers la mer et ses récifs. Quatre filiformes cocotiers s’élancent toujours plus haut en ondulant vers le ciel et l’hôte de passage, renversé dans une balancelle laissée à sa disposition près des persiennes de la porte-fenêtre de sa chambre de couleur vive, bleue ou rouge, se laisse bercer et s’abandonne à la rêverie. Avec prudence, il gardera le rituel vaudou à distance, et se souviendra que vivait là Hadriana, l' Hadriana dans tous mes rêves peut-être inventée par René Depestre… le fil de René Depestre est ici | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Mer 6 Oct 2010 - 17:39 | |
| Véronique Durruty, Road Book, 20 ans de voyage : Voyageurs du monde - Citation :
- Présentation de l'éditeur
Véronique Durruty embarque pour un long et beau périple en 1990. Le voyage est lent, prendre le moins de transports possible. Revenir avec d'incroyables carnets remplis de notes et dessins, et les pellicules argentiques empreintes de son talent et regard de photographe. Un parcours sur les 5 continents, à travers 80 pays, entrecoupé par des thèmes transversaux comme les transports, manger en voyage… et rythmé par des articles de fond du Courrier international. Une maquette vivante, qui s’invente page après page. Un choc visuel, un livre épais de 312 pages, et bouillonnant de contrastes. Carnets de voyage (extraits les plus dépaysants, documentés, touchants ou drôles).Photographies : paysages, gens, atmosphères, trajets (depuis un train, un bateau, une voiture ou un avion), hôtels (façades, chambres, clés de chambres etc.), lieux de départ (gares, aéroports, ports), petits éléments croisés sur le bord des routes. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Voyages Virtuels Ven 17 Déc 2010 - 16:23 | |
| The Rock Hotel, GibraltarLa plupart des écrivains-voyageurs venus d'outre-Atlantique ou d'Angleterre par la mer, ont accosté au Rock Hotel, ce vaste paquebot immaculé perché au-dessus de la ville et du port, juste au-dessous du rocher de Gibraltar, à l’entrée de la Méditerranée : Hemingway régulièrement, John Steinbeck, Somerset Maugham, Noel Coward qu’un séjour dans la suite O’Hara à écrire Private Lives. En 1969, John Lennon et Yoko Ono s’y sont mariés. Le texte de La Ballade de John et Yoko survole les lieux et prêche la paix : Finally made the plane to Paris Honeymooning down by the Seine Peter Brown called to say, you can make it ok You can get married in Gibraltar near Spain Christ you know it ain’t easy, you know how hard it can be The way things are going they’re going to crucify meAnnée Peace and Love de la guerre du Vietnam. Episode rock du Rock Hotel texte: Nathalie H.de Saint Phalle, Hôtels Littéraires | |
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