Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Henry Bauchau [Belgique]

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MessageSujet: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 19:40

Henry Bauchau [Belgique] Baucha10

Henry Bauchau (22.01.1913, Malines, Belgique - 21.09.2012, Louveciennes, France) est un écrivain — poète, romancier, dramaturge et psychanalyste — de langue française. Il vit à Paris depuis 1975. Il est également membre de l'Académie royale de littérature française de Belgique.


Edit : Pour faire plaisir à Marie:  
- Il est l'oncle des écrivains Bernard Tirtiaux et François Emmanuel
- Il est le père de l'acteur Patrick Bauchau.

Wink


Bibliographie  

Citation :
Index: (cliquez sur les numéros de page pour y accéder directement)
Romans
1966 La Déchirure, Page 17
1973 Le Régiment noir,
1990 Œdipe sur la route, Pages 6, 7, 11, 18, 23
1991 Diotime et les lions, Pages 10, 18
1997 Antigone, Pages 1, 2, 7, 8
2004 L'Enfant bleu, Pages 1, 2, 3, 5, 6, 7, 8, 9, 11, 18, 20, 23, 24,
2008 Le Boulevard périphérique, Pages 1, 2, 3, 4, 5, 6, 12, 13, 20, 21
2010 Déluge, Pages 17, 19
2011 L'enfant rieur,
2012 Temps du rêve, Page 21
2013 L'enfant rieur II. Chemin sous la neige,

Journaux
1992 Jour après jour 1983-1989,
1999 Journal d'Antigone 1989-1997,
2002 Passage de la Bonne-Graine 1997-2001,
2005 La Grande Muraille : Journal de La Déchirure 1960-1965, Page 13
2007 Le Présent d'incertitude 2002-2005, Pages, 9, 12, 15, 17,
2009 Les Années difficiles. Journal 1972-1983, Page 15
2011 Dialogue avec les montagnes - Journal du Régiment noir 1968-1971, Pages 16, 19,
2012 Pierre et Blanche. Souvenirs et documents sur Blanche Reverchon et Pierre Jean Jouve,

Nouvelles
1999 Les vallées du bonheur profond, Page 11
2005 En noir et blanc,

Poésie
1958 Géologie,
1964 L'Escalier bleu,
1966 La Pierre sans chagrin,
1967 La Dogana,
1972 Célébration,
1975 La Chine intérieure,
1981 La Sourde Oreille ou le Rêve de Freud,
1986 Poésie 1950-1986,
1995 Heureux les déliants, poèmes 1950-1995,
1999 Exercice du matin,
2006 Nous ne sommes pas séparés,
2009 Poésie complète, Page 17
2011 Tentatives de louange,

Citation :
Mise à jour le 03/11/2013, page 24


Dernière édition par sentinelle le Jeu 28 Fév 2008 - 20:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Le Boulevard périphérique   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 19:44

Henry Bauchau [Belgique] Boul_p10

Quatrième de couverture
Paris, 1980. Alors qu'il " accompagne " sa belle-fille dans sa lutte contre un cancer, le narrateur se souvient de Stéphane, son ami de jeunesse. Au début de la guerre, cet homme l'a initié à l'escalade et au dépassement de la peur, avant d'entrer dans la Résistance puis, capturé par un officier nazi - le colonel Shadow -, de mourir dans des circonstances jamais vraiment élucidées. Mais Shadow, à la fin de la guerre, s'est fait connaître du narrateur. Son intangible présence demeure en lui, elle laisse affleurer les instants ultimes, la mort courageuse - héroïque, peut-être - de Stéphane. Et la réalité contemporaine (l'hôpital, les soignés et les soignants, les visites, l'anxiété des proches, les minuscules désastres de la vie ordinaire, tout ce que représentent les quotidiens trajets sur le boulevard périphérique) reçoit de ce passé un écho d'incertitude et pourtant d'espérance... L'ombre portée de la mort en soi, telle est sans doute l'énigme dont Henry Bauchau interroge les manifestations conscientes et inconscientes, dans ce captivant roman qui semble défier les lois de la pesanteur littéraire et affirmer, jusqu'à sa plus ultime mise à nu, l'amour de la vie mystérieusement éveillée à sa condition mortelle.


J'ai aimé ce livre mais je vais avoir beaucoup de mal à expliquer le pourquoi du comment.
Difficulté à mettre des mots là où j'ai ressenti de l'émotion.

De quoi s'agit-il exactement ? On y parle des vivants et des morts, de la lumière et de l'ombre, de la pesanteur et de la légèreté, de la maladie qui nous plonge dans un temps suspendu fait d'attente et du quotidien des proches qui défile à toute allure.

Le boulevard périphérique que le narrateur emprunte chaque jour pour rendre visite à sa belle-fille atteinte d'un cancer renvoie à un éternel recommencement que Sisyphe n'aurait pas désavoué. La figure maternelle qui veille sur sa fille qui se meurt, la figure paternelle qui vieillit et qui ose enfin le lâcher-prise que sa vieillesse autorise. Les échos que cette mort engendre chez le narrateur.

Il y a dans ces pages un récit de 12 pages qui m'ont terriblement émue.
Ce récit fait part des souvenirs du narrateur à propos d'une rafle pour le compte du Service du travail obligatoire durant les années d'occupation nazie en Belgique. Ce passage, qui prend des allures de tragédies grecques, est absolument bouleversant.

Cette lecture ne me fut pas facile, bien que l'essentiel soit dit avec beaucoup de simplicité. Le foisonnement et l'universalité des thèmes abordés font inévitablement ressurgir certaines émotions chez le lecteur.

Citation :
Je voudrais faire l'économie de toutes les morts que j'ai vécues, de celles que je devrai vivre encore. Je ne peux pas, je suis dans ce temps, dans ce monde, il n'y en a pas d'autre.


Dernière édition par sentinelle le Jeu 28 Fév 2008 - 10:44, édité 1 fois
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coline
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 19:50

Je vais le lire bientôt...Wink
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 19:51

Je suis curieuse d'avoir ton avis. Ce fut une belle lecture mais éprouvante aussi Shocked
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coline
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 19:52

sentinelle a écrit:
Je suis curieuse d'avoir ton avis. Ce fut une belle lecture mais éprouvante aussi Shocked

Je m'y attends...
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Marie
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyMer 27 Fév 2008 - 21:16

Je rajoute à la biographie qu'Henry Bauchau est l'oncle de François Emmanuel. Vous les retrouverez tous dans le nouveau Magazine littéraire consacré à la psychanalyse.
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyJeu 28 Fév 2008 - 19:47

J'ai acheté L'enfant bleu il y a quelques jours.
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domreader
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyVen 29 Fév 2008 - 10:12

J'avais lu sa ré-écriture d'Antigone il y a quelques années, et ce roman m'avait marquée par son écriture profonde et magnifique, par le nouveau jour sous lequel sont abordés les personnages pourtant déjà visités et revisités de cette histoire.

Il est vrai qu'au départ, cette histoire m'a toujours émue, je trouve que c'est l'une des plus belles jamais écrite.

J'ai toujours eu peur de lire autre chose de Bauchau, me disant que ce niveau d'écriture ne pourrait plus être atteint (peut-être à tort d'ailleurs) et que je serai déçue...
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyVen 29 Fév 2008 - 16:14

@domreader, je pense vraiment que cela vaut la peine de se plonger dans la lecture d'un autre livre de Bauchau. Le boulevard périphérique est proposé au cerclage, n'hésite pas Wink

@Stell_A, L'enfant bleu est dans ma LAL, j'en ai toujours entendu le plus grand bien. J'espère que tu viendras nous en dire un mot après ta lecture content

@Marie, merci pour l'info concernant le magazine, je vais certainement me le procurer woohoo
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Cachemire
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyVen 29 Fév 2008 - 17:51

Domreader, je suis tout à fait d'accord avec toi enthousiaste . Antigone est l'un des plus beaux livres que j'ai lu ces 10 dernières années. J'ai beaucoup aimé aussi, dans la même série Oedipe sur la route. En revanche, ni l'enfant bleu ni le boulevard périphérique que je viens de terminer ne m'ont plû. Ils n'ont ni le même souffle lyrique, ni la même beauté d'écriture. Tu as donc raison de te méfier...il vaut mieux rester sur ta merveilleuse impression!

Cachemire
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyVen 29 Fév 2008 - 18:10

Cachemire a écrit:
En revanche, ni l'enfant bleu ni le boulevard périphérique que je viens de terminer ne m'ont plû.
Et moi j'ai aimé jypeurien
Je crois Domreader que le mieux est de se forger sa propre opinion en toute connaissance de cause.
En ce qui me concerne, j'aime prendre certains risques Wink
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyDim 2 Mar 2008 - 19:50

sentinelle a écrit:
Cachemire a écrit:
En revanche, ni l'enfant bleu ni le boulevard périphérique que je viens de terminer ne m'ont plû.
Et moi j'ai aimé jypeurien
Je crois Domreader que le mieux est de se forger sa propre opinion en toute connaissance de cause.
En ce qui me concerne, j'aime prendre certains risques Wink

Pour moi en revanche, ce n'est pas prendre un risque mais plutôt chercher à nouveau une émotion...dans ce cas-ci, elle n'est pas venue mais ces 2 livres, comme la plupart de ceux que je lis sont des témoignages humains intéressants et en cela enrichissants : je ne regrette pas de les avoir lus.
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyVen 11 Avr 2008 - 20:27

Le boulevard périphérique de Henry Bauchau
Relié: 254 pages
Éditeur : Actes Sud (3 janvier 2008) ISBN-10: 2742771697


Mon commentaire :

Le roman débute par une écriture pauvre en vocabulaire. La déclinaison du verbe faire ou voir tourne à la franche rigolade.
Henry Bauchau réussit pourtant à m'entrainer dans son histoire grâce à sa sincère humanité.

Humanité à propos du compte rendu de la manifestation des femmes belges, opposées aux départs de leurs hommes, pour le travail obligatoire instauré par les Allemands lors de la dernière guerre. Une forte émotion dans ce récit, gonflé par la peur de ces êtres aux mains nues, face à la barbarie armée. Cette vérité qui me prend aux tripes avec une clarté transmise à travers le sentiment de panique, l'impuissance devant une bête noire, casquée, menaçante, tout pouvoir de destruction à portée de fusil.

Humanité à propos de sa belle-fille, Paule, ingénieure commerciale basée à Vancouver, il écrit d'elle :
“elle n'est pas tournée vers l'être, mais vers l'avoir”.

Il la suit main dans la main, accompagnant sa lente descente aux enfers, attirée par le cancer, ce mangeur d'hommes.

Sincère humanité à propos de son copain de jeunesse, Stéphane l'alpiniste bucheron, dont l'amitié enveloppe le roman d'une ambiance bénéfique aux douceurs poétiques disséminées entre les moments de tristesse.
Résistant belge, Stéphane l'homme des bois, accompli en silence un travail de nettoyage à la base, pour abattre méthodique les hauts fûts ronds.
Shadow le SS, accompli un travail de sape pour faucher les hommes, et agit sur les esprits pour détruire les prisonniers.
Shadow est une prison à lui tout seul. Il sait enfermer les résistants dans le cartel de leurs pensées, sceller les barreaux des ouvertures condamnées, enchainer les âmes à leur bourreau persécuteur.
Shadow pénètre l'esprit des forts en gueule, jusqu'à prévoir leur désir d'évasion.

Le narrateur retrouve Shadows emprisonné à son tour, trente-six ans après la guerre. Ses entretiens à l'hôpital chevauchent les visites avec sa belle fille, elle-même enfermée dans le carcan de sa maladie.
Le narrateur (n'est-il pas Henry Bouchau lui-même ?) poursuit son enquête sur la mort de son ami Stéphane. Le chasseur devient proie. Un travail de fin psychologue donne à la victime le syndrome de Stockholm, où l'opressé tombe en amour de son opresseur.

L'histoire relate aussi l'emprise de ces agresseurs (maladie ou êtres humains) sur leurs victimes, “un vrai héros qui s'amuse seul ”, qui avait, comme le SS, besoin d'une discipline sévère en appliquant ce principe :
“choisir ce qu'on préfère à ce qu'on ne préfère pas, c'est une maladie de l'esprit”.

Dépassé le stade de la forme, ce livre est étonnant.
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptySam 17 Mai 2008 - 14:37

Henry Bauchau [Belgique] 97827410

L'enfant bleu

Véronique est psychanalyste à Paris dans un hôpital de jour pour enfants handicapés (« le peuple du désastre »). Elle prend en charge Orion, un adolescent psychotique, dont elle sera la « psychothéraprof », comme il l’appelle, à la fois psychothérapeute et perceptrice, durant quinze ans. Rapidement elle décèle chez lui un don pour la peinture et la sculpture. Elle va s’en servir et au fil des années, va permettre à Orion, grâce à cette thérapie par l’art, d’exprimer ce qui le hante (son « démon de Paris » qui le « rayonnise et le bazardifie », l’angoisse et le rend fou), puis d’en prendre conscience et de l’exorciser, pour enfin s’épanouir et progresser. Mais sans guérir complètement, Henry Bauchau ayant eu l’intelligence de ne pas finir sur un happy end irréaliste.
___

C’est un récit réaliste, Henry Bauchau s’est servi de son expérience de psychanalyste ayant lui-même travaillé dans un hopital pour adolescents psychotiques, et on a parfois l’impression de lire une histoire vécue.

Mais il ne s’agit pas du simple récit d’une analyse.
C’est un véritable roman, on entre dans l’univers et le quotidien d’Orion et de ses parents, mais aussi de Véronique et de Vasco, son mari musicien, etc...

C’est aussi un roman prétexte à maintes réflexions sur la différence, la souffrance, l’angoisse, la folie, l’espoir, la tolérance, l’imaginaire, l’art ….

C’est aussi un livre rempli de références sur la mythologie, la poésie, la musique. Un livre très allégorique et dont les subtilités continuent à se révéler, même après la lecture. Une lecture très facile cependant, qui peut se faire à plusieurs niveaux d’interprétation.

Un livre passionnant et profond.
Un livre qu'on n'oublie pas.
___

Extrait :
"Moi on est une espèce de presque, de pas fini. Etre comme les autres, est-ce que c'est être fini ?"
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MessageSujet: Re: Henry Bauchau [Belgique]   Henry Bauchau [Belgique] EmptyDim 18 Mai 2008 - 13:11

Le boulevard du périphérique

Lire Henry Bauchau, c'est ça :
sentinelle a écrit:
J'ai aimé ce livre mais je vais avoir beaucoup de mal à expliquer le pourquoi du comment.
Difficulté à mettre des mots là où j'ai ressenti de l'émotion.

et aussi :
bertrand-môgendre a écrit:
Henry Bauchau réussit pourtant à m'entrainer dans son histoire grâce à sa sincère humanité.

Le même avis trouvé dans un article de Lire :
Citation :
Ceux qui ne connaissent pas encore Henry Bauchau n'imaginent pas l'émotion qui les attend à la lecture de ses livres. Le récit le plus simple atteint chez lui un paroxysme et une universalité du sensible qui emportent et qui étreignent

C'est vrai qu'il y a quelquechose d'indicible dans ce que l'on ressent en lisant Henry Bauchau, le seul moyen de le comprendre est de le lire.

J'ai lu Le boulevard du périphérique à la suite de L'enfant bleu, j'ai aimé y retrouver ce que j'aime chez Bauchau : beaucoup de sensibilité (surtout pas de mièvrerie), de profondeur, de réfléxion, d'humanisme, une grande richesse intellectuelle, de l'érudition.
J'ai cependant été moins touchée par Le boulevard du périphérique que par L'enfant bleu, dont le sujet est beaucoup plus original, j'ai parfois eu une impression de déjà lu avec Le boulevard du périphérique.

Je suis cependant définitivement fan de Henry Bauchau.
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